21. Absorption et émission de la lumière.

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Absorption et emission de la lumiereAbsorption et emission de la lumiere (1.51 Mo)

PPT oral blanc:

Absorption et emission de la lumiere 1Absorption et emission de la lumiere 1 (1.51 Mo)

 

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Revoir le plan et mettre KMnO4 et l'absorbance en I, puis le reste en II et III:

 

Absorption et emission de la lumiereAbsorption et emission de la lumiere (2.33 Mo)

 

Plan oral blanc:

Absorption et e mission de la lumie re 2Absorption et e mission de la lumie re 2 (5.4 Mo)

 

Code

Manip:

 

  • 1ère partie : influence de la concentration
    • Lampe QI + cuve + fibre optique + spectro
    • On met le spectro en mode absorbance. Le blanc est fait avec le solvant (eau distillée) puis on intercale une solution concentrée pour déterminer les longueurs d’onde des maximums d’absorption. Il y en a 5 (définies dans le python: [487, 506, 524, 544, 565] en nm). Toutes les mesures seront ensuite faites à ces longueurs d’onde.
    • Constatation importante pour la suite : les longueurs d’onde des maximums d’absorption sont indépendantes de la concentration de la solution.
    • On intercale nos solutions plus ou moins concentrées de KMnO4 (de 10^-3 à 10^-5 Mol/L)
    • On trace sur python l’absorbance en fonction de la concentration et on détermine le coefficient d’extinction molaire.
    • On constate que la dépendance est linéaire en la concentration. L’intensité en sortie de cuve est proportionnelle au nombre de photons absorbés. L’équation régissant l’intensité lumineuse de sotie est donc exponentielle et son logarithme sera linéaire. On constate aussi le palier de saturation du détecteur lorsque la solution est trop concentrée.
    • Les photorécepteurs (photodiodes) absorbent les photons donnant lieu à un courant mesuré donnant accès à l’intensité reçue.

 

  • 2ème partie : influence de la longueur de la cuve
    • Le nombre de photons absorbés dépend aussi de la longueur de la cuve. En effet plus le chemin est long, plus les photons ont des chances élevées de rencontrer des molécules absorbantes. On va donc vérifier la dépendance de la longueur de la cuve.
    • Lampe QI + miroir à 45° dans le but d’éclairer verticalement une éprouvette graduée que l’on va remplir progressivement d’une solution d’une concentration quelconque (ici 10^-4 M) OU utiliser des cuves de longueurs différentes
    • On constate de la même manière la dépendance linéaire en la longueur de la cuve de l’absorbance.
    • On peut donc conclure que la loi de Beer-Lambert est rigoureusement valable pour un faisceau incident parallèle, afin que chaque photon ait le même trajet.
    • Cette mesure est moins précise car l’incertitude sur la lecture de volume dans cette expérience est plus importante que celle sur les concentrations de la première expérience.

Code initial:

Date de dernière mise à jour : 13/06/2024